Dans la presse
« Des pièces d'une infinie poésie où chaque détail compte. »
Marie POTARD, « Le Journal des Arts », 3 novembre 2024
« Tout est question d'équilibre, un rien et le charme s'éventerait : c'est cela qu'on appelle l'art, qui réalise les intentions en les faisant oublier. Et le style! On reconnaît cette épure, c'est la vôtre, rien que la vôtre, mais sans ce besoin qu'ont tant d'«artistes» de signaler les effets, d'ajouter en pastille un «regardez, ça c'est tout moi». On mesure la grandeur d'une œuvre au travail de clarification qu'elle engage en nous qui la recevons, parfois même à notre insu. Il y a des éblouissements d'un soir. Et il y a ces mouvements souterrain, ce lent rapatriement de l'être, cette pacification qui s'opère en profondeur. Nous avons reconquis confiance et liberté vraie. Le roi de gloire peut venir quand il veut. Le repas est prêt. »
Emmanuel GODO, « La Croix », 12 juin 2024​​
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« Un sculpteur orfèvre octogénaire de renommée mondiale. »
Catherine PACARY, « Le Monde », 27 décembre 2023
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« On songe à l'œuvre du sculpteur Goudji, le Rodin du mobilier liturgique, à Notre-Dame de Chartres, Saint-Vincent de Saint-Malo et Saint-Lazare d'Autun. »
Sébastien LAPAQUE, « Le Figaro », 14 décembre 2023
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« L'harmonie qui se dégage de ses œuvres polychromes et son bestiaire ne sont pas sans rappeler l'art byzantin, d'une simplicité assortie d'une grande maestria. »
Léopoldine FRÈREJACQUES, « Valeurs actuelles », 16 novembre 2023
« Inspiré par l'Antiquité et le Moyen Age, il a façonné des bijoux précieux, avant de se laisser porter par son imaginaire nourri de différentes cultures, offrant des allures d'animaux à des objets de l'art de la table, incrustant des pierres dures dans des œuvres liturgiques. Très tôt reconnu, sollicité par les plus grands, il a notamment imaginé des épées pour les académiciens ou contribué au renouveau de l'art sacré. Unique, magnifique ! »
Bénédicte PHILIPPE, « Télérama », 7 novembre 2023
« Goudji, un des plus grands orfèvres, crée depuis quarante ans des œuvres qui amenuisent la frontière entre profane et art sacré. »
Marie-Gabrielle LEBLANC, « France catholique », 13 novembre 2022
« Si les joailliers hexagonaux ne reçoivent plus de commande de cette clientèle, il y a toutefois une figure en France devenue une référence en matière de bijoux sacrés : l'artiste Goudji. Ce Parisien d'adoption, originaire de Géorgie, a dessiné et fabriqué une multitude de croix pectorales et d'anneaux épiscopaux. C'est grâce à des objets liturgiques et à du mobilier pour la cathédrale de Chartres que ce génial artisan s'est fait remarquer, au point de recevoir en 1999 une commande de Jean-Paul II pour un fermail (broche servant à fermer la chape de cérémonie). « Le Vatican m'avait laissé une liberté totale, se souvient-il. En lisant l'Apocalypse de saint Jean, j'ai choisi le thème de la Jérusalem céleste et ses douze pierres précieuses, traversée par un agneau en ivoire. » Le succès fut tel que, entre autres ouvrages, il réitéra pour Benoit XVI en 2007, qui lui commanda une pièce unique en marqueterie de pierres dures figurant une arche de Noé. Divine. »
Elodie BAËRD, « Le Figaro », 15 avril 2022
« Il y a, magistral, l'orfèvre Goudji dont les œuvres liturgiques relient deux points cardinaux - l'orient des civilisations perdues et l'occident d'une création contemporaine inspirée. »
​Christiane RANCÉ, « La Croix », 16 avril 2021
LA GAZETTE DE DROUOT, 28 mars 2025